N°68 - 23/12/2009
22 décembre 2009 dans Les unes par bobsine
● La phrase de la semaine d’Hugo Chavez « Si le climat était une banque, vous l’auriez déjà sauvé ! »
● Pour noël, Geluck se lâche en Une de Siné Hebdo.
● Mieux que Copenhague : un entretien avec l’économiste Serge Latouche. Le pape de la décroissance parle depuis longtemps de refus de gaspillage, de sobriété joyeuse, de partage…A lire entre deux réveillons, pour oublier un peu Copenhague. (extraits vidéo de l’entretien sur le site : sinehebdo.eu)
● Un conte de noël de Patrick Raynal.
● Chronique de Guy Bedos.
● Didier Porte : Besson/Dati le couple échangiste de l’année.
● Michel Onfray : Sale temps pour les athées.
● Christophe Alévêque et Johnny, Johnny.
● Miguel Benasayag et les bobos.
● Jean-Pierre Bouyxou : Cinéma et libido.
Retrouvez Jiho, Bridenne, Siné, Mix et Remix, Lindingre, Large, Faujour, Decressac, Kap, Aurel, Berth, Mric, Diego Aranega, Rémi Malingrey, MykaiaPakman, Carali, Michel Warschawski, Jackie Berroyer, André langaney, Dror, Jeanne Folly, Jean-Paul Rocher, André Langaney, Noël Godin, Delfeil de Ton…
N°67 - 16/12/2009
15 décembre 2009 dans Les unes par bobsine
● Le retour du plombier polonais : Au secours, Bolkenstein revient ! Par Jérôme Bonnet.
● Régions : les élus libres de taper dans la caisse. Sarkozy supprime les contrôles de légalité des finances publiques. Par Ian Hamel.
● Sans-papiers, la politique de l’hypocrisie : « Le gouvernement prône la fermeture administrative des entreprises utilisant du travail dissimulé. » Fermer Bouygues ? La RATP ? EDF ? Chiche ! répond l’inspecteur du travail Gérard Filoche.
● A Coulommiers, on exploite les sans-papiers. Par Placide Beauvau.
● Didier Porte nous donne les dernières nouvelles de PPDA.
● Derrière la com’ rien ne change à France Télécom. Par Michelle Guerci.
● Laure Noualhat :« Copenhague, qui va payer ? »
● Jean Ziegler : « Jugeons les prédateurs de la finance pour crime contre l’humanité. »
● Noël Godin propose pour un noël païen : Merde à Jésus de Marcel Paquet. Avec l’entarteur, tout est de cet acabit !
● Jackie Berroyer : Etre incinéré, plutôt crever !
● Eloge du cannibalisme. Par André Langaney .
● Delfeil de Ton poursuit sa véritable histoire d’Hara-Kiri hebdo.
● Jean-Paul Rocher et le champagne.
● Retrouvez : Jiho, Siné, Brouck, Caza, Mix & Remix, Lindingre, Large, Faujour, Decressac, Soulas, Kap, Aurel, Berth, Mric, Diego Aranega, Rémi Malingrey, Pakman, Geluck, Carali, Pierre Concialdi, Carlos Santulli, Christophe Alévêque, Didier Porte, Michel Onfray, Michel Warschawski…
N°66 - 09/12/2009
8 décembre 2009 dans Les unes par bobsine
● EXCLUSIF :JEAN-MARC ROUILLAN NOUS ÉCRIT DE PRISON. Il est aujourd’hui au centre de Muret, rès de Toulouse, sans savoir s’il pourra un jour sortir à nouveau et sur quels critères. Il est atteint du syndrome de Chester-Erdheim, une maladie rare soignée seulement à l’hôpital de la Pitié- Salpêtrière. Son avocat porte plainte contre X pour non-assistance à personne en danger. Il a purgé sa peine au-delà de la durée incompressible. Doit-il payer toute sa vie ? L’emprisonnement doit-il induire une absence de soins ? Il raconte son arrivée à sa nouvelle adresse, ses sentiments, sa révolte d’être de nouveau en zonzon « pour quelques mots dans une interview ».
● PARIS : La Ville lumière élue capitale du sommeil ! Couvre-feu pour les fêtards depuis l’élection de Sarkozy. Par Emmanuelle Veil.
● UN MOIS FERME POUR DES CHAUSSETTES MOUILLÉES. Par Anne Steiger.
● BESSON VEUT LA TÊTE DE GUILLON. Le débat sur le « mariage gris »: il existe, pourtant, un adage datant de l’ancien régime : « En mariage trompe qui peut. » Par Carlos Santulli.
● LE BLOC-NOTES DE GUY BEDOS .
● Siné tire sur les Blancs bien-pensants, mais pas seulement…vous vous en doutez…
● Michel Onfray critique de la déraison pure prend part au débat sur les vaccins.
● Christophe Alévêque commente le C’est ça ou son contraire de la semaine.
● Vaccination anti-grippe A : la panique organisée. Un plan de réquisition comme en temps de guerre. Par Olivier Marbot.
● Laisse tes congés en héritage. Par Gérard Filoche.
● Orange, le management par l’absurde. Par L’Olivier.
● SFR conteste la représentativité du syndicat Sud. La haine du patronat envers la présence syndicale dans l’entreprise. Par Pierre Concialdi.
● La libération du soldat Shalit. Par Michel Warschawski.
● Isabelle Alonso et Sarah Palin.
● Laure Noualhat et le sommet de Copenhague. Obama, c’est pas lui qui décide.
● Jeanne Folly et la Suisse.
● Jean-Pierre Bouyxou nous recommande quelques films polissons à offrir sous le sapin. Et des ouvrages sur le cinéma qui méritent le détour.
● Et aussi : Jackie Berroyer, André Langaney, Dror, la véritable histoire d’Hara-Kiri hebdo par Delfeil de Ton, Jean-Paul Rocher. Etienne Liebig continue de débaptiser les rues.
● Et les dessinateurs Berth, Large, Lindingre, Kap, Jiho, Carali, Mric, Chimulus, Giemsi, Mix & Remix, Diego Aranega, Soulas, Etienne Delessert, Puig Rosado, Faujour, Rémi Malingrey, Decressac, Desclozeaux, Geluck.
Hors série N°3
7 décembre 2009 dans Les unes par bobsineSoixante pages, plus de deux cents citations
et près de cent dessins originaux.
En kiosque à partir du 9 décembre 2009. 8 €.

« Si je n’existais pas, certains devraient m’inventer. » « Le président de la République n’a pas à avoir d’égo, ce serait parfaitement inadmissible.» Ces petites phrases figurent parmi les mille et une perles dégainées par Sarko. Et témoignent à elles seules de la propension du vibrionnant de l’Élysée à dire tout et son contraire. Communiquer à s’en griser, à s’en renier, à s’en ridiculiser, bref, pérorer pour mieux nous enfumer, Nico Ier s’en est fait une spécialité.
Dans ce hors-série, le troisième de l’histoire de Siné Hebdo, nous avons voulu faire un arrêt sur loghorrée. À mi-quinquennat : déclarations, promesses, mensonges, provocations… nous n’avons eu qu’à nous baisser pour glaner le « meilleur » du verbe élyséen. Au final, pas de doute, Sarko, c’est Sarko qui en parle le mieux. Inutile de se perdre en commentaire.
Bouclage oblige, nous avons cessé d’ausculter ses discours à la mi-novembre mais nous sommes prêts à rempiler. D’abord, parce que la matière est inépuisable ; ensuite, parce qu’il y un bail d’ici à 2012 et qu’il faudra bien trouver le moyen de se marrer jusque-là ; enfin, parce que Sarko, lui-même, saluera l’honnêteté de notre démarche : en 2004, il avait en effet scandé la main sur le coeur : « Si la vérité blesse, c’est la faute de la vérité. » Or, au fil de ces pages, nous rapportons sa vérité, rien que sa vérité.