Après un jour et demi de débat, le procureur a demandé la relaxe de Siné, au motif « qu’on n’a pas le droit de sortir des phrases de leur contexte satirique. Nous sommes sur le terrain du droit pénal et il ne se réduit pas à la morale. La chronique est politiquement incorrecte mais aujourd’hui tolérerait-on les écrits de Coluche ou de Desproges ? » Verdict, le 24 février.
Compte-rendu dans le prochain Siné Hebdo à sortir mercredi 4 février.